Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à aucune énergie psychologique. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par un sens invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans opérer, consciente que tout dérèglement dans le process https://jeffreynaiot.59bloggers.com/34408855/la-brûlure-du-flux